
Mon petit, qu'est-ce que ça peut te faire?
Elle a lui demandé, quand ils se trouvaient dans le Café Lorca en écoutant une vieille bossa nova au fond.. ils se regardaient toujours quand quelque chose n'a pas été bien. Les confidences. Mais il y avait quelque chose sans sense dans ce moment et pour ça, seulement pour ça, elle a jeté sur lui tout la colère qui a touché son corps après l'accident. Avec beaucoup de peur et en train d'outrepasser le limite entre le pleurer et le crier sans s'apercevoir de ce fait, ses mains tremblaient avec la possibilité de recevoir encore des regardes inconnus. Elle savait qu'en arrivant la table serait prêt de lui demander la même chose.
Mon petit, pourquoi est-ce que tu me regarde comme ça?
Alors je voudrais bien te dire que avant que tes yeux froids demandent quelque chose, avant qu'ils ajoutent quelque mots dans tes images incongrues, je te jeterai. J'espère vraiment que les morceaux de ton visage ne soient jamais comme il a été dans t'ancien géométrie regulière et bien composé.
Elle lui lance contre le mur.. il tombe en criant.. c'est pour ça que je vien ici te parler. Il ne reflétera plus. Il resiste quand mÊme. Il donnera à tout les objets en face de lui les couleurs frappés et les images cubistes..
Maintenant avec le verre cassé en milles morceaux elle peut bien écouter et sentir nouvellement la peau de sa main se refaire pas à pas avec le silence des images dures.
Mon petit Miroir,tu est mort pour moi.
#Miroir, Jim Hodges, 1997.